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 Naora Tamaki

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MessageSujet: Naora Tamaki   Naora Tamaki EmptyVen 3 Avr - 22:54

Tamaki Naora

 
|| Âge : 401 ans  || Sexe : féminin || Race : shinigami || Allégeance : seireitei. 5eme division ||

 

 
Naora Tamaki c’est d’abord une silhouette élancée, franchissant le mètre soixante-cinq, presque un peu trop mince pour ses fonctions, mais comme on le sait, les apparences sont parfois trompeuses, et cela ne dénote pas d’une certaine faiblesse, juste d’un passé au rukongai nourri avec peu de riz. Même si elle est en bonne santé, son poids semble ne pas changer vraiment. Ses membres sont fermes et durs, résultat d’un entraînement rigoureux, c’est qu’il y a du muscle là dessous ! Naora c’est aussi une femme, ainsi sur son buste on remarque une poitrine de taille acceptable, sans pour autant atteindre la générosité de Matsumoto, mais cela lui convient parfaitement. Sur celles-ci commence les cicatrices présentent sur son buste. Même si elle n’y pense pas la plupart du temps, elle est mal à l’aise quand on lui fait remarquer. Vu les circonstances, pas de quoi être fière.

Naora préfère le pratique à l’esthétique. Ses cheveux sont coupés courts, facile à coiffer d’un coup de brosse le matin, sans aucune fioriture pour les agrémentés. A part le fait qu’ils aient une teinte plus ou moins violette suivant l’éclairage, mais cela n’est pas dû à une coloration, mais plutôt à un mystère de la mort. Ils se composent d’une sorte de frange asymétrique, plus long à droite et les connaisseurs diraient qu’il s’agit là d’un carré dégradé inversé. En gros, plus long devant et court derrière.

Lors ce que vous regardez sa figure, ce qui vous frappe sont ses yeux, deux grands yeux bleus clairs rehaussés par ses cils, pouvant s’assombrir lorsqu’elle est de mauvaise humeur. N’étant pas une bonne actrice, c’est dans ses yeux que vous y verrez sans peine ses émotions, même lorsqu’elle tente de les dissimuler. Ses sourcils ont tendances à être incliné vers le bas en cas de mécontentement, et sa bouche fine pincée. Son nez est fin, et pointu, sans être trop encombrant. Si elle souriant plus souvent, à la place de garder toujours un air sévère, on dirait volontiers que Naora est mignonne.

Coté vestimentaire, rien de très sophistiqué, elle porte l’uniforme officiel des shinigami pas trop décolleté, même si il dévoile parfois la naissance de sa poitrine. En tenue de civil, ses vêtements se composent généralement d’un haut noir, d’un pantalon gris près du corps et de botte noire, parfois le tout agrémenté d’un ruban autour du cou, seul bijou que l’on peut la voir porter.

 

 
Impulsive, c’est un mot qui revient souvent pour la décrire. Naora démarre au quart de tour quand on la cherche, elle est très facile à énerver même si avec le temps, elle a fait des efforts pour devenir plus calme parce car un tel comportement n’allait pas toujours être en adéquation avec sa division, voir même de ce que l’on attend d’une shinigami responsable. Alors elle s’emporte moins si on la bouscule malencontreusement, ou qu’on la regarde de travers, néanmoins, ne le faite pas exprès non plus, il ne faut pas pousser.

De cette impulsivité découle une grande franchise. La demoiselle a tendance à dire tout haut ce qu’elle pense sans fioriture, et étant du genre à voir les points positifs avant les négatifs, la plupart du temps ce sont donc des critiques qui sortent de sa bouche, la rendant assez peu appréciable. Tout le monde n’aime pas forcément Naora et cela la met parfois dans des situations bien gênantes. Heureusement, elle a appris à tenir sa langue devant des supérieurs, préférant ne rien dire plutôt que de faire preuve d’insolence, surtout qu’en cas d’énervement suprême son langage peut être carrément vulgaire.

Néanmoins, celle-ci n’est pas méchante, juste un peu violente sur les bords il est vrai, et un peu rustre. Mais on peut noter que son caractère se compose aussi d’une forte détermination, et d’un courage à toutes épreuves. Un peu trop même, cela tient aussi de la témérité dans certaine situations. Si elle ne sous-estime pas ses adversaires, c’est elle qui se surestime, pensant que la détermination de vaincre suffit à tout surpasser, pourtant tout n’est pas aussi simple, cela ne marche pas à tous les coups. Allié à un grand sens de la protection, elle serait du genre à braver tous les dangers pour sauver un ami, d’ailleurs, Naora comprenait très bien le point de vue des membres de l’opération « sauver Rukia ».

Naora, c’est une femme qui s’entend mieux avec les hommes que ses pairs. Avec ses amis ils boivent parfois dans les bars, rit à des blagues potaches, parlent fort, se font des combats amicaux, et se raillent entre eux gentiment. Par conséquent, elle est habituée à être traitée à l’égal d’un homme, le revers de cela est qu’elle ne sait absolument pas s’y faire pour en séduire un alors elle pense naïvement que cela arrivera par miracle un jour. De la même façon elle n’hésite pas à envoyer les types lourds sur les roses de façon plus ou moins délicate. La siffler dans la rue est un bon moyen pour se recevoir un coup de poing ou une bonne remarque par exemple. Pourtant, malgré tout cela il y a un moment où vous pouvez la voir perdre ses moyens, si quelqu’un lui plaît vraiment et vient lui parler, d’un seul coup, Naora se transformera en femme timide et gênée, ne sachant que faire et même, chose exceptionnelle, ses joues se teinteront de rouges !

Si tout cela la rend pour le moins extravertie, il faut nuancer avec une part de timidité. En effet, lorsqu’elle croise des inconnu, Naora se saura pas forcément leur adresser la parole sans les faire fuir, pour peu que l’idée lui vienne à l’esprit. Et si quelqu’un lui plaît elle ne va même pas savoir l’aborder. De plus, elle n’ose pas vraiment formuler des demandes d’aides, préférant régler ses problèmes toute seule, ou au mieux, avec ses deux comparses en qui elle à toute confiance.


 


Une fillette capricieuse.

Naora est née dans la province d’Izumi, au Japon féodal durant l’ère d’Edo. Fille unique de Nanae, une fille d’agriculteur et de Benjiro Tamaki un samourai, sa maison est simple en ville et c’est là que se déroulera son enfance.

Naora avait alors quelques mois quand elle tomba gravement malade, et ses parents pensèrent qu’elle ne survivrait pas. Néanmoins, la petite leur donna tord et réussi à braver la maladie, son premier combat. Après cette victoire le bébé reprit des forces et une constitution féroce, comme si cette épreuve l’avait endurcit, ainsi Naora ne retomba plus beaucoup malade, et jamais aussi gravement. La vie allait pouvoir commencer.

Son père est rarement à la maison, pourtant c’est de lui dont elle tient le plus. Sa mère est une femme au foyer effacée et polie tentant de lui apprendre les bonnes manières féminines. Même à cinq ans, Naora est déjà une forte tête, et n’a pas l’intention d’être polie et discrète, quand on père vient à la maison, elle est fasciner par son katana et son wakisahi, c’est ça qu’elle veut savoir manier, pas la manière de mettre la vaisselle correctement.

A 10 ans, cette gamine est déjà à traîner dehors avec d’autres enfants, salissant ses kimino, l’obi n’importe comment, elle est ingérable pour sa pauvre mère Nanae qui doit lui faire prendre une douche tous les jours dans un baquet, car elle revient souvent sale, les genoux couper des diverses chutes dû à ses tentatives d’escalades un peu partout. Quand son père revient elle le supplie d’apprendre à se battre avec des lames.

- Oto-san, oto-san, apprends-moi !

La petite tape du pied, fait la moue et fronce les sourcils avec un air déterminé. Malgré qu’elle ne soit pas épaisse, cette brindille est une vraie boule de nerfs, toujours en action. Même quand elle sommeil, son repos est agité  de ses rêves de gloire et de combat. Fatiguée, Hanae regarda son mari les yeux suppliant, l’air de dire « fais quelque chose ». Etant peu chez lui, Benjiro ne se rend pas encore compte de la situation et à quoi il s’expose en disant :

- Ce n’est pas un passe-temps pour jeune fille convenable Naora. Ecris des haiku si tu veux t’occuper.

Alors là… La jeune fille en fut extrêmement vexer et entra dans une violente colère :

- C’EST NULLE COMME IDEEE, JE NE VEUX PAS DEVENIR AUSSI PITOYABLE QUE OKA-SAN !

Ça c’était dit. Les yeux fulminants de rage, les cheveux en bataille, elle ressemblait à une petite démone. Elle se reçu une claque du père qui l’envoya roulé au sol, c’était la première fois que ses parents osaient lever la main sur elle, cela la calma. Du moins un peu. Le repas du soir fût tendu, Naora ne décrocha pas un mot. Parce qu’elle complotait. Ça tournait à plein régime dans sa tête de gamine butté. Elle fit mine d’aller sagement au lit mais durant la nuit… Durant la nuit elle prit son petit baluchon et subtilisa le wakizashi de son paternel, car plus adapté à sa taille, bien décider à trouver quelqu’un pouvant lui apprendre.

Néanmoins, Naora n’allait pas bien loin, les ruelles sombres sont peu sur pour une fillette et elle ne tarda pas à tomber sur des individus peu recommandables qui voulurent subtiliser son arme d’emprunt et la revendre à une maison de passe. Alors elle courut, de toutes ses forces, et usa de son agilité pour grimper sur les toits. Sautes, sautes, sautes, tombes. La voilà qui dérape et s’étale au sol, terrifiée. Heureusement, un individu sortit de chez lui. Du moins dans la pénombre, avec son pantalon large et sa chemise masculine, Naora pensa que c’était un homme. Car l’individu sortit un katana, ce qui fit fuir les types louches. Quand Ayame s’assura que tout allait bien et que Naora pouvait se relever, le doute n’était plus possible.

- Une petite fille ne devrait pas se balader dans les rues si tard.

La fillette regardait sa sauveuse avec des yeux admiratifs et se releva pour la suivre.

- Je veux apprendre à me battre comme vous !

- On verra.

La mystérieuse Ayame était une femme aux cheveux grisonnant, dans la quarantaine. Eclairée par la lueur de la bougie elle semblait amusée par Naora. Elle lui prépara une couche et pansa ses genoux égratignés après avoir versé de l’alcool sur les blessures. La jeune fille s’endormit et le lendemain, elles se présentèrent chez les Tamaki, morts d’inquiétudes. Ils remercièrent la femme mais celle-ci demanda de pouvoir enseigner l’art du combat à leur fille. Le père refusa railleur :

- Une femme ne sait pas se battre, que pourrait-elle enseigner du combat ?

- Si je remporte la victoire, aurais-je la permission ?


Ayame le défia en duel afin de prouver ses compétences, elle gagna haut la main. De mauvaise foi le père autorisa la femme à apprendre le combat à Naora. C’est ainsi que débuta son entraînement rigoureux. Durant cinq année, Naora pu mettre toute son dynamisme dans l’apprentissage des lames, ce qui l’assagit considérablement, et allégeait la charge de travail de sa mère. Elle apprit le respect et la discipline et savoir se reposer doucement pour que son corps soit au mieux de ses capacités en combat. La jeune fille apprit même à se montrer altruiste, en effet, Ayame aidait en fin de semaine dans un orphelinat, aussi elle ne tarda pas à y amener sa disciple afin de garder les enfants. Sans le savoir, par un malheureux hasard, c’est ce qui provoqua la mort de Naora à l’âge de 17 ans.

Ce jour-là, un des petits accouru apeuré voir Naora en lui disant :

- Sempai, j’ai vu un bakemono !

Il semblait tellement terrifié que Naora partit dans la direction indiqué avec son katana, pensant qu’il y avait là quelque mauvais esprit à chasser. Une fois dans le coin de la ville désigné, les habitants étaient partit de la zone, effrayé par ce qu’ils ne pouvaient voir. Même si la jeune fille ne voyait pas l’auteur de ces désagréments, elle était convaincu que le mur ne c’était pas détruit tout seul. Le silence…

Un pot en terre cuite se renversa. N’écoutant que son courage – voir sa témérité – Naora s’élança et donna un coup de sabre au pif à cet endroit mais ne toucha rien. A l’inverse, une force la projeta à terre sans la tuer. Elle aurait dû être effrayée, personne ne lui en aurait voulu, mais elle repartit à la charge avec son arme. Un connaisseur aurait souri en pensant à l’image des shinigami, mais le hollow n’était pas d’humeur à plaisanter et la renvoya avec force contre un mur. Contrairement aux êtres spirituels, Naora ne pouvait pas encaisser le choc et se relever. Non. Elle mourut sur le coup, sa tête fracassée.

Quand elle ouvrit les yeux, la jeune fille était morte, et le monstre, qu’elle voyait à présent, toujours là. Elle ne dû son salut qu’à la présence d’un shinigami, bien qu’en retard, qui tua le monstre. Il s’approcha d’elle, Naora recula. Il prit la parole sincèrement :

- Désolé de ne pas avoir été là à temps. N’ai pas peur.

De toute façon que pourrait-il lui arriver d’autre ? Elle était morte. Alors elle s’avança, septique. Avec son pommeau, il l’envoya à la Soul Society.

Une jeune âme... hargneuse

Malheureusement, Naora atterrit dans les lointaines zones. La jeune fille regarda autour d’elle. Cela ressemblait à sa ville natale, mais plutôt du côté des quartiers vraiment très pauvres, s’étendant à perte de vue. Loin dans l’horizon, à peine discernable, un vague point semblait plus haut que les autres. Au début elle erra, pieds nus, avant qu’une famille charitable lui explique qu’elle passerait le reste de son existence ici.

- Quoi ? C’est hors de question.

Elle regarda sa tunique, la pauvreté des lieux, non, ce n’était pas possible.

- On ne peut rien y faire ?

- A part se rapprocher des premiers quartiers, par là-bas… Pas grand-chose.

On lui désigna le vague point au loin.

- Alors j’irais. Y’a rien à manger ? J’ai faim.

- Non, pas vraiment, la plupart d’entre nous n’ont pas besoin de manger. Un peu de riz circule mais…

- K’so. C’est la dèche.


Naora se mit sur le champ à la recherche de nourriture, se dirigeant vers les quartiers paysans. Sa première journée était bien chargée. Les vols et règlements de compte étaient fréquents chez les déshérités, mais Naora ne possédait rien, à part sa tunique, et son corps, qui n’était pas à vendre. En chemin, le ventre gargouillant, elle croisa deux jeunes hommes en train de se battre… Pour de la nourriture. Ils étaient comme deux chiens enragés, la boulette de riz s’échappa lors du combat sans que les adversaires ne s’en rendent compte. Naora s’en saisi, en mangea un bout et la sépara en deux avant de les interpeller :

- Hey les mecs, c’est ça que vous voulez ?

Ils se retournèrent dans un bel ensemble, hargneux, devant leur regard agressif, même Naora eu un mouvement de recule mais ils finirent par se calmer et se raisonné. Les deux mangèrent leur part.

- Où avez-vous eu cette nourriture ?

- C’est des producteurs de riz, mais y disent qu’c’est que pour les shini, parce qu’ils protègent les âmes et tout. Mon cul ouais, des feignasses les mecs. Alors j’l’ai volé.

- Alors protégeons à notre tour les producteurs pour qu’ils nous en donnent ?


Cette idée naïve fit son bonhomme de chemin dans leur tête, même si les deux jeunes hommes étaient réticents à travailler ensemble, mais ils ne pouvaient pas survivre éternellement ainsi. Au début cela ne s’avéra pas concluant, mais les jours passants, ils aidèrent les citoyens à faire fuir des voleurs, mettre fin à des bagarres de rues, réparer les murs, et en retour ils apportaient un peu de nourriture aux trois jeunes âmes. Les ans passèrent, ils agrandirent leurs champs d’action, un homme, plus vieux qu’eux entra dans leur groupe, il faisait le lien entre eux et les paysans.

Une bataille peu glorieuse.

En bref, Naora, Eiein, Akihiro et Genishi (le plus âgé) étaient devenu une sorte de gang, qui avait fini par assuré la protection de leur territoire, en échange de nourriture. Contre qui ? Et bien des civils pas toujours bien intentionnés, qui ne sont pas rares.  S’ils ne se sont pas vraiment fait connaître des shinigami, c’est qu’ils ne font rien de forcément répréhensible, et puis ils ne sont que quatre civils parmi des millions perdus au milieu des lointains quartiers avec une notoriété ne dépassant pas les cinq kilomètres, pas de quoi attirer l’attention. Ils s’étaient fabriqués des armes avec du rafistolage qui leur permettaient d'impressionner un minimum les autres.


Suivant leur exemple, d’autres âmes affamées se sont regroupés eux aussi. Et ne tardèrent pas à être jaloux de la nourriture que le petit groupe avait amassés. Ils se fabriquèrent des armes et attaquèrent la cabane des trois amis – Genishi vivant dans une autre- durant la nuit. Sauf que les trois jeunes gens ne sont pas sans défense, loin de là. Ils sont féroces avec une hargne de vivre. Le combat fait rage avec une rare violence pour des civils. Armes improvisés contre armes improvisés, ils font même quelques dégâts aux alentours. La douleur… Un des adversaires farouches avait récupérée deux armes tranchantes et avait réussi une attaque croisée sur Naora.

- Arrgh.


- Crève !


- Vas te faire !

Malgré cela elle réussit à se défendre vaillamment avec son bâton en bois. De chaque côté, des blessés tombaient mais tout cela ne dura pas vingt minutes, car finalement, un shinigami en patrouille avaient été attiré par tout ce remue ménages, séparèrent les combattants encore debout. Il ne restait plus qu’Eiein du coté de leur petit groupe  qui lançait des pierres à l’aide de sa fronde, planqué derrière un mur. Naora se tenait le buste et Akihiro avait pris un sale coup de lame sur la tête qui l’avait laissé inconscient.


Après quelques bakudo et des sermons afin de remettre de l’ordre dans les esprits échauffés des belliqueux, tout le monde se sépara une fois  les premiers soins prodigués, afin de leur éviter une hémorragie en plein rukongai. Naora était intriguée par l’arme de l’homme en noir. Une fois cette affaire terminer, ils se mirent d’accord pour tenter la traverser de la ville.

Le trio dû attendre que les deux blessés se remettre. Ils voulurent que Genishi vienne avec eux. Il secoua la tête négativement :


- Je n’ai pas les conditions nécessaires.


- Rapproches toi au moins des meilleurs quartiers !


- Si ça vous fait plaisir…


Une semaine après, Naora, Eiein et Akihiro n’en pouvant plus attendre, ils partirent avec des provisions, suivit de Genishi qui tentait sa chance ailleurs. Le trajet fut beaucoup moins mouvementé, même si Akihiro râlait d’avoir un angle mort plus grand à présent, tandis qu’Eiein lui reprochait de râler justement. Après plusieurs semaines de route en marche tranquille, car Naora souffrait encore de son torse, ils arrivèrent à destination. Ils se séparèrent, Genishi partit vers les quartiers entre dix et quinze, tandis que le trio arriva à l’Académie des shinigami.

Une shinigami prometteuse ?

Là, Naora fut ravi, surtout avec les cours de zanjustu, elle était dans son élément, retrouvant avec plaisir le maniement du katana dont son corps se souvenait, à défaut de sa mémoire. Les gestes lui revenaient. Par conséquent, elle s’en sortait plutôt bien dans sa promotion, tandis que le kido… C’était assez nouveau pour elle. Pour tout avouer ce n’était pas très concluant, au début elle s’en prenait même dans la figure en essayant, c’est pour dire. Après plusieurs années d’apprentissage, le trio obtenu chacun de leur côté leur diplôme de shinigami et leur zanpakutô respectif.

Naora fut attiré par la 11 qui correspondait bien à son tempérament et son sens du combat, sauf que… Comment être sûr que son zanpakutô serait de type physique ? Et même si elle n’y était pas douée, elle ne se fermait pas hermétiquement à l’utilisation du kido. Surtout que sans cette discipline, elle se serait vidée de son sang quelques années auparavant. Naora discuta avec ses deux amis, ils souhaitaient être dans la même division. Alors ils postulèrent à la 5.

Les années passèrent, Naora commençait à gravir des échelons depuis la découverte de son shikai, Kagenikata no Hime. Bon, ça ne s’est pas fait en un jour surtout qu’au début, Naora se demandait pourquoi Hime était un « fichu zanpakutô spirituel k’so ! ». Pour la jeune shinigami pleine de fougue, devoir passer une épreuve énigmatique relevait du défi. Son monde intérieur était sombre à chaque fois qu’elle voulait y aller. Sombre dans le sens… complètement noir, on n’y voyait goutte. Hime, noyée dans les ténèbres lui demandait « « En ce lieu manque un élément essentielle, sans cela, tu ne pourras jamais posséder une chose t’étant pourtant intimement liée. Que ne pourras-tu jamais avoir ici ? ». Déboussolée par la noirceur la shinigami répondait au début au pif « un collier ? La vue ? Une arbalète ? ». A chaque fois Hime soupirait comme si sa partenaire était la dernière des crétines.

Des capitaines, dont Hirako Shinji, et d’autres membres du gotei disparurent cette année là, sans qu’ils aient plus d’informations. Naora abandonna durant quelques jours sa quête du nom de son zanpakutô afin de faire une pause. Et même si ses amis se posaient plein de questions aussi sur ces disparitions étranges, ils ne purent savoir ce qu’il se tramait en vérité. Les capitaines furent remplacés et la vie reprit son cour. Ce n’est qu’un soir, sommeillant à la lueur de la bougie, les yeux dans le vague, que Naora trouva la réponse à l’énigme d’Hime : sans lumière, pas d’ombre possible. Son monde intérieur s’éclaira alors, redonnant des couleurs à un monde intérieur se composant d'une maison traditionnelle et d'un jardin sauvage et Hime fut enfin visible.

Les prochaines décennies furent consacrées à l’apprentissage de la maîtrise de son shikai. Un siècle plus tard le Seireitei voyait s’enchaîner des événements en tous sens : la trahison et l’exécution programmer de Rukia, la mort d’Aizen, l’arrivé d’Ichigo et la trahison des trois capitaines, Aizen n’étant pas mort et s’étant allié avec des arrancars. Même si elle détestait se l’avouer, Naora fit partit de ces personnes un peu perdu, ne sachant plus où donner de la tête et qui avait raison sur quoi. Une traîtrise avérer de trois capitaines… C’était très inhabituel. Et bizarrement, Kuchiki Rukia n’était pas vraiment connu pour être une shinigami à problème tout de même. M’enfin Aizen peu de gens pouvait se vanter d’avoir senti le coup venir aussi… Même pas ses propres soldats. Parfois, Naora se demande comment elle à fait pour passer à coté de ce machiavélique personnage sans ne jamais rien soupçonner... Elle n'est surement pas la seule à se dire "si nous l'avions vu...".


Finalement, tout cet imbroglio fût démêlé en grande partie par le fameux rouquin, qui tailla sa route à travers les adversaires, alors ce n’était pas Naora qui allait changer grand-chose. Elle ne croisa qu’un arrancar vite fait dans le monde des humains, un avec des yeux et cheveux de la même couleur rouge sombre, mais il s’en alla après l’avoir vu. Elle ne sut jamais si c’était par pacifisme ou lâcheté pure, néanmoins elle ne chercha pas à le poursuivre jusqu’au Hueco Mundo, cela aurait été stupide.

Pourtant les événements continuaient à se poursuivre, du moins à l’échelle des siècles de la Soul Society, cela faisait beaucoup en si peu de temps. Vint les Quincy, soit disant exterminés, attaquant directement le Seireitei et faisant des dommages considérables aussi bien au niveau matériel qu’en clairsemant les rangs des soldats. Le trio perdit des connaissances comme tant d’autres, mais ils n’avaient pas le temps de se lamenter, ce n’était qu’après la lutte acharnée contre les Quincy que chacun pu se rendre compte des membres disparus et des dégâts infligés. Il fallut reconstruire, renommer des gens aux fonctions clefs. Étrangement, ce fut Shinji qui revient en poste, en vizard apparemment. Avec la disparition de certains membres, il lui était possible d'atteindre le rang de troisième siège. Quand au shinigami qu'elle avait croisé il y a longtemps de cela, au rukongai, et bien... Il était devenu capitaine.

Et Vous ?

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MessageSujet: Re: Naora Tamaki   Naora Tamaki EmptyVen 3 Avr - 23:15

Re bienvenue, et bonne chance avec ce perso.
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MessageSujet: Re: Naora Tamaki   Naora Tamaki EmptySam 4 Avr - 18:00

Pour moi c'est bon, je donne ma voix. Je penche pour 3ème Siège, lvl 50.
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MessageSujet: Re: Naora Tamaki   Naora Tamaki EmptySam 4 Avr - 18:40

Je donne une seconde voix pour le niveau 50, 3ème siège de la 5ème Division ! C'est parti !
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MessageSujet: Re: Naora Tamaki   Naora Tamaki Empty

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